Anthologie
VS-Webzine.com et Camion Blanc ont décidé de démontrer qu'on peut faire du metal avec un stylo à la place du micro ! Du metal comme support d'enseignement en cours de musique au metal permettant de redonner un sens initiatique à la mort, en passant par ce qu'il advient du musicien lorsqu'il raccroche..., voici donc une belle diversité de textes qui prouve les qualités littéraires qui sommeillent derrière les vestes à patch, les tatouages ou les piercings... Le métalleux n'est ni meilleur, ni inférieur, il est ici et maintenant.
Au sommaire :
- Le metal comme support d'enseignement en éducation musicale de Stéphanie COSTELLA
- Groupie d’Hélène COURIVAUD
- Violon ! de Fabien MARECHAL
- Après de Sidoine DARCAUX
- Un hippie survivrait-il au Hellfest ? de Mathias AVERTY
- L'homme des salles de Julien NOEL
- Egoterrorism de Moshé Alex SARRAZIN
- Les menteurs au paradis de Marian FOLLIOT
- Quand le projecteur s'éteint de Nicolas SAINTIER
- Alter Ego d'Éric HETROY
- Le contrat de Fabien MARECHAL
- L’imaginaire thanatique dans la culture metal Ou comment redonner un sens initiatique à la mort ? de Frédéric VINCENT
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Quand le projecteur s'éteint :
Lorsque le concert prend fin, le chanteur se retrouve dans sa loge, seul devant son miroir...
Extrait de la préface :
Le texte “Quand le projecteur s’éteint” de Nicolas Saintier tient une place particulière parmi tous les autres, il s’agit sans doute du plus émouvant, il aurait tout à fait pu remporter le concours. Que se passe t-il lorsqu’une carrière à succès s’arrête, lorsque l’on doit “raccrocher” ? Comment reposer les pieds sur terre alors que des milliers de fans vous chérissent ? Cela revient un peu à une phrase de James Hetfield dans "Some Kind Of Monster" : la personne que les fans adulent est un masque, ce n’est pas le James Hetfield ou le Ihsahn qui va chercher ses enfants à l’école.